Je voulais vous raconter en un seul billet comment le gouvernement se fout de notre gueule et nous conduit à l’abattoir ou en prison sous des prétextes scientifiques. Mais bon, le temps d’attention du lecteur ne dépasse sûrement pas cinq minutes, et là il faut plus. J’ai donc décidé de procéder en deux fois (au moins, selon ma fatigue). D’abord les bases essentielles, ensuite la mécanique de mort sociale (et de mort tout court peut-être) mise en œuvre par petit étron et sa bande d’incapables satisfaits.
S’il vous plaît, lisez. C’est pas la peine que Pakounta il se décarcasse si c’est pour être parcouru d’un œil torve et somnolent. Je vous demande cinq minutes. Parce que pour comprendre clairement ce que je vous raconterai d’ici quelques jours, il faut absolument savoir deux choses :
Premièrement
– Le test PCR dont on nous gonfle et regonfle les génitoires N’EST PAS un test « oui ou non ». Ce n’est pas comme un dosage de la glycémie (prise de sang pour mesurer la concentration en glucose, ça donne UNE valeur, pas une gamme de possibilités) ou une numération globulaire (vous avez 5 millions de globules rouges par mm3 de sang, pas « quelque chose entre 2 et 12 millions » selon la manière dont on examine le frottis).
Le test PCR, c’est un truc d’une complexité extrême et d’une astuce diabolique, qui a valu le Nobel à son inventeur, mort l’an dernier et qui a toujours dit qu’il ne fallait pas l’utiliser à des fins de diagnostic. Les fabricants l’ont mis à la portée des labos : le manipulateur n’a qu’à déposer le glaviot contaminé dans le réceptacle prévu à cet effet, ajouter les réactifs (d’une complexité inimaginable) à la pipette et introduire le tout dans la machine (le cycleur), et roule ma poule (je ne vous parle que de la phase dite d’amplification, elle a été précédée dans le cas du coropasvirus par une phase de « rétrotranscription » pour transformer l’ARN du virus en ADN, parce qu’on ne sait pas amplifier l’ARN, seulement l’ADN).
Principe : on chauffe pour dissocier l’ADN en ses deux brins, on refroidit un peu pour permettre la fixation des amorces (je vous expliquerai si vous voulez), puis l’élongation (la duplication de l’ADN) et la libération de sondes qui deviennent colorées dès que l’ADN se duplique, et on recommence le cycle, chauffage (vers 90°C), refroidissement (autour de 70°C), élongation (grâce à une polymérase miraculeuse, une enzyme dite « thermostable » qui tient le coup et fait son job à ces températures infernales de cuisson du gigot beaucoup trop cuit), coloration, et ainsi de suite. À chaque tour, la quantité d’ADN double. En principe, on fait 30 tours, à la suite de quoi on détecte la couleur accumulée, libérée à chaque tour.
Trente duplications, ça fait un milliard de fois. Les quelques molécules d’ADN paumées dans le glaviot, on pouvait pas les voir, évidemment. On les multiplie un milliard de fois, avec un artifice qui fait que de la couleur se libère dans le tube à chaque coup, et il y a alors assez de molécules de couleur pour que ça soit détectable.
Couleur détectée, le test est positif, il y avait l’ADN mortel du virus tueur (enfin, l’ADN fabriqué à partir de l’ARN du virus, tout ça est un bordel insensé), tu es malade, tu vas mourir. Ou au moins tu es condamné à quarantaine pour deux semaines, au pain sec et à l’eau. Pour protéger ta famille, tes voisins et tes collègues (et les vieux, bien sûr) de la peste mortelle dont tu es porteur. Si au bout de ce délai tu n’es pas mort, tu es bon pour tests répétés jusqu’au vaccin salvateur, comme ils disent. Le vaccin qui te tuera ou t’asservira pour toujours.
Bon, je reviens au test. Si au lieu de 30 tours on décide d’en faire 35, par exemple, l’ADN n’est plus multiplié par un milliard (230), mais par 16 milliards (235). Du coup, un échantillon où il y avait très très peu d’ADN, dont la couleur pouvait ne pas être décelable à un milliard de fois, on a de bonnes chances de la voir si elle est encore multipliée par 16… Le test négatif devient positif. Tu ne devais pas mourir, et maintenant tu es condamné. Même le satanique Dr Fauci a un jour déclaré qu’un test PCR à 35 cycles n’a aucune valeur, ça n’a aucun sens. En plus, à ces niveaux-là, on commence à multiplier un peu n’importe quoi, ça devient peu fiable.
C’est pour ça que la France a la plus grande fréquence de positifs au monde. Je ne sais pas quels sont les tests utilisés dans nos labos (et d’ailleurs, dans quels labos ? le petit labo de biologie médicale du coin, qui fait les prélèvements en grattant les trous de nez, je le vois pas vraiment faire toute la manip derrière, même si c’est automatisé ; du coup, est-ce réservé à de gros labos centraux, genre service de virologie d’un CHU ? Je n’ai pas réussi à trouver le renseignement.). Je sais pas, donc, quels tests utilise la Fronce universelle, mais je sais que le test BioMérieux, dont je n’ai trouvé la notice qu’en anglais, fait 45 tours, lui (ça me rappelle ma jeunesse, Johny et Sylvie en 45 tours…). L’ADN dont on recherche la présence est multiplié par 245, soit 32 000 milliards. Normalement, on doit voir la couleur même s’il n’y avait qu’une seule molécule initialement. Et même s’il n’y en avait aucune, probablement. C’est n’importe quoi.
Retenez, c’est la seule chose que je voulais dire et puis je m’emporte, je me dis que tout le monde va comprendre, pas seulement « savoir », mais « comprendre » : plus tu fais de tours d’amplification, plus le test devient « sensible » (il détecte la plus infime quantité) mais sans doute moins il devient spécifique (il détecte aussi n’importe quoi de vaguement similaire et ça fait des faux positifs par paquets de mille). Pour les officiels, que le test soit peu spécifique, on s’en branle : c’est positif, tu es malade, tu vas mourir et les statistiques vont comme ils veulent.
En peu de mots : il suffit de modifier dans un sens ou dans l’autre le nombre de cycles d’amplification pour modifier dans le même sens le pourcentage de positivité des tests. Si tu veux plus de tests positifs, tu fais plus de cycles, si t’en veux moins t’en fais moins. Et en fonction, tu racontes au bon peuple absolument ce que tu veux. Il y a 15 jours, on avait 22 % de positivité, aujourd’hui on n’a plus que 11 %. Les gens sont moins malades, ou on fait moins tourner les tests ?
Deuxièmement
– Ça sera plus bref, parce que ce n’est pas encore en application. Ça concerne les vaccins. Les deux premiers qui se targuent d’être pratiquement au point sont des vaccins à ARN, une technique dont je vous ai dit un mot ici.
Jamais utilisée chez l’homme, cette technique est cependant mise en œuvre « en urgence » en s’épargant toute phase d’étude chez l’animal, ce qui est proprement inimaginable.
Les deux vaccins à ARN (je crois que celui d’AstraZeneca est à ADN, encore pire) annoncent une « efficacité de 90% ». Pour vous, ça veut dire quoi ? Qu’il y a 90 % moins de cas avec le vaccin ? Ou 90 % moins de cas graves ? Ou 90 % moins d’hospitalisations ? Ou 90 % moins de décès ? Ou 90 % moins de passages en réanimation ? Ou tout ça à la fois ?
Sachant que l’énorme majorité des personnes « positives » au test truqué n’ont et n’auront strictement aucun symptôme, et qu’on a bloqué des centaines de millions de personnes chez elles à travers le monde, en réduisant à la faillite d’innombrables petits commerçants et en faisant des millions de chômeurs, sous le prétexte de pouvoir sauver les malades, donc pour l’essentiel les vieux (je suis en tête de file à 80 ans passés), on pourrait se dire que le vaccin n’a d’intérêt que s’il empêche les formes graves, s’il réduit nettement les passages en réa, s’il a un effet clairement favorable pour abaisser la mortalité. Et bien sûr, s’il n’a pas d’effets secondaires graves et nombreux, en particulier chez les vieux, qui résistent mal aux grosses secousses biologiques. Non ?
Eh bin non. J’ai pas le temps d’aller regarder en détail, mais les ordres de grandeur sont les bons. Je crois bien que Pfizaire a enrôlé 43 000 personnes, classées par âge et autres paramètres, et réparties entre vrai et faux vaccin. Et ils attendent qu’ils chopent le covide (de sens). Miracle, ils en ont eu, qu’ils disent, 94 cas, dont davantage chez les faux vaccins. Et le covide était évidemment diagnostiqué seulement sur critères cliniques (on fait pas de PCR à la con chez des gens vaccinés !) : toux, fièvre, malaise. Un rhume, une vague grippe. Ça suffit, ça, pour déclencher la vaccination de centaines de millions de personnes humaines vivantes et pensantes ??? Les effets secondaires : douleur au point d’injection et autres trucs mineurs. Les effets à distance, c’est pas au programme, ils s’en branlent, on verra sans doute dans le « suivi », je sais pas, mais par exemple attaque du système nerveux par l’ARN messager qu’ils injectent encapsulé dans des nanoparticules de gras. Peut-être que ça viendra pas, peut-être que des gens se retrouveront avec une sclérose en plaques, ou une myélite transverse, ou que certains mourront paralysés et asphyxiés par un Guillain-Barré, je sais pas. Mais on peut pas jouer, on n’a pas le droit. Et ils jouent. Pour des milliards.
Il n’y a dans les études en cours aucun critère sur la gravité, la réa, le décès. Qu’est-ce que tu veux tirer comme conclusions de portée sérieuse avec 94 « malades » ? Mais là, ils ont annoncé 90, puis 95 pour cent d’efficacité. Moins de rhumes, donc c’est bon, on va gagner des milliards. Et c’est exactement le même topo pour Moderna (entre parenthèses, Moderna ça fait simple, moderne, sympa, on va pas s’inquiéter ; en réalité, ça veut dire modified RNA, ARN modifié, ou modification par l’ARN, bref c’est ça l’idée ambiance Frankenstein.)
Je conclus pour l’instant là-dessus : ces vaccins sont dangereux, les études n’apportent aucune idée de leur efficacité pour éviter les formes graves et les décès, et le chiffre des cas sur lesquels reposent les évaluations est dérisoire et même insultant. Quand ils auront des résultats en double aveugle sur 100 000 personnes au bout de 10 ans, on verra. Pour l’instant, ils nous injectent de l’eau salée ou la mort, pour des milliards.
Et partout ils sont exonérés de toute responsabilité pénale ou financière en cas de conséquences graves.
C’est l’état qui prend ça en charge. Avec notre argent, pour payer les obsèques après le vaccin injecté de force. Petit étron a dit que ça serait pas obligatoire, mais il a pas dit qu’il serait interdit de discriminer à l’embauche ou pour l’entrée dans les magasins en fonction du certificat ou de la puce affirmant l’injection.
C’est maintenant qu’il faut agir, se lever, hurler, exiger la liberté. Dans SIX MOIS, il sera trop tard. Jamais je n’aurais imaginé voir une pareille horreur tranquille…