Un jeune séfarade inverti succède à une vieille invertie ashkénaze. Tous deux hébreux parce que c’est là qu’est le pouvoir financier, culturel, sociétal. Invertis parce que c’est la mode, mais surtout parce que c’est la composante maîtresse de la lame de fond woke qui admet tout pourvu que ça détruise l’ordre établi en prétextant le refus de la discrimination pour le bien et le confort des peuples.
C’est con de la part d’une polytechnicienne, la science étant faite de discriminations entre le vrai et le faux, le chaud et le froid, le lourd et le léger, le réel et l’imaginaire, le soluble et l’insoluble, le proche et le lointain, les racines réelles ou imaginaires (dans l’équation du second degré, c’est le discriminant qui permet de trancher), et cetera. C’est con de la part de politiciens censés gérer les affaires de la nation, parce que ne pas discriminer entre le neg inculte, violent et à QI d’huître et le Blanc héritier de la civilisation qui a cherché à comprendre le monde, c’est retourner à la violence et à la barbarie. Mais le bruit court que c’est le but : qu’ils s’entretuent, qu’ils disparaissent, que l’élite riche subsiste, moins de cinq pour cent de l’humanité actuellement vivante, et surtout les hébreux. On le voit bien en regardant ce qui se passe à Gaza : les séfarades et les ashkénazes se foutent bien du bien-être des peuples.
On a donc cette étonnante situation d’un pays, qui fut la France, où, lorsque des grondements se sont manifestés en octobre contre le massacre de Gaza par l’Izrahell en réaction au faux drapeau gazaouite du 7 octobre, le pouvoir en place a organisé une manifestation « pour la raie, contre l’antimitisme » en prétextant que la raie était mise en danger par les gens qui râlent contre les pauvres sémites malheureux qui ont beaucoup souffert : la Fronsse serait menacée par l’antimitisme.
Or cette Fronsse menacée par les antimites vit en régime de raie, dont la constitution a été élaborée sous la direction d’un ashkénaze, Michel Debré. Elle a tout récemment été présidée par un ashkénaze hongrois, monsieur Sarko, et par un gros soupçonné d’origine sémite, monsieur Grolande. L’assemblée nationale, censée représenter le peuple, est présidée par une ashkénaze, madame Braun. L’organisme suprême qui veille au respect de la constitution est présidé par un ashkénaze, monsieur Fabius, qui a été premier ministre et dont la fortune (œuvres d’art) échappe à l’impôt, heureux hasard. Et comme je le disais pour commencer, le premier ministre, qui (en principe) détermine et conduit la politique du gouvernement est désormais un jeune séfarade, monsieur Attal, qui succède à une vieille ashkénaze polonaise, madame Bornstein. Le président de l’organisme qui veille à la dépense publique est un ashkénaze roumain, monsieur Moscovici, naguère plusieurs fois ministre.
On voit donc que la Fronsse est vraiment en danger : elle est entièrement aux mains des hébreux appuyés par la banque, et toute manifestation contre un antimitisme autre que celui de bas étage (jamais dénoncé) que professent les mouzlimis est une plaisanterie de très mauvais goût. Sous la religion de l’holocaustianisme, tout le clergé est holocaustique de stricte observance. Quiconque a de mauvaises pensées est excommunautarisé.
Le président, dignitaire de la secte holocaustique ashkénaze de l’écu rouge et élève du grand conseiller séfarade Attali, vient de nommer une nouvelle grande ménorattal. Hosannah.