
enculés
Avec la destruction des Blancs et de leurs civilisations, le monde détruit la beauté. Notre beauté. Ici, Roméo et Juliette, la scène du premier baiser, en haut dans le film de Zeffirelli, en-dessous dans je ne sais quelle adaptation théâtrale ou filmée, au goût de l’époque, quelque part en Angleterre ou aux US. Un genre de Womio et Jouliep, vous voyez ?
Il n’existe, comme on le voit, ni races ni civilisations.
L’horreur monte.
D’abord, le simple bon sens dit ça : aucun des faits observés ne relève d’une pandémie, et aucune des mesures prises pour nous « protéger » n’a ni sens ni efficacité, ni justification :
Ensuite, les gens qui sont au courant des faits profonds disent ça : le monde n’est pas dirigé par des chefs d’état mais par « monsieur global », qui détient les moyens financiers et humains pour faire ce qu’il veut. Dans l’immédiat, détruire l’économie mondiale, en mettant ce cataclysme sur le compte d’une maladie imaginaire :
Une autre version de cette vidéo a été postée hier par mon lecteur Stéph, merci à lui (voir dans les derniers coms du billet précédent). C’est identique, mêmes images, mêmes propos traduits. En plus, des sous-titres français, manifestement fabriqués en automatique, sans doute en phonétique vu les innombrables fautes d’orthographe et d’interprétation, mais ça peut aider à fixer l’attention. Pour les puristes qui comprennent bien le chat qu’expire, la v.o. est par exemple ici. Bien entendu, tout ce qui est djoutube peut disparaître sans préavis, surtout si c’est intelligent et véridique.
À bientôt. Faut que je vous parle du trucage des chiffres quotidiens, et du vaccin. Pour l’instant, les « cas » sont stables, la mortalité attribuée au covide diminue (et y’en a peu), mais on nous rebat les oreilles avec le danger mortel de l’épidémie et la nécessité absolue de vacciner d’urgence. Tout ça est criminel.
NE VOUS FAITES PAS VACCINER
Les ordures du sommet n’ont à l’évidence qu’un seul but : écraser la société, bloquer l’initiative, supprimer l’autonomie, interdire la liberté. Voir et entendre le petit étron et l’attardé mental nommé premier fusible envisager d’interdire la sortie du territoire national pour aller skier, c’est totalement effarant. Ces gens qui autorisent les stations de ski mais pas les remontées, on pourrait croire que ce sont des imbéciles irresponsables. Non. Ils font exprès, il s’agit d’interdire pour interdire, de « sonner » les gens, d’empêcher le plaisir, le contact, la joie de vivre.
Avec l’histoire du ski, ils empêchent la sortie du territoire, exactement comme l’Allemagne de l’est avait construit un mur pour empêcher les gens de fuir un régime fou. Petit étron est un tueur froid. Il continue dans la même voie : empêcher les gens de vivre. Peut-être aussi, et c’est loin d’être invraisemblable, qu’il est simplement fou, fou de lui, fou de pouvoir, fou d’enculeries. Fou. Dérangé. Et donc utilisé par les puissants qui l’ont mis là pour profiter du fait qu’il est totalement irresponsable, non conscient du bien et du mal, juste occupé à son plaisir à lui, à la manifestation de sa puissance. Peut-être qu’il est impuissant, et que ça convient bien à la vieille.
Regardez, par exemple, les troquets et restaurants : anéantis de mars à mai, ils ont tenté de récupérer pendant les quatre mois suivants, et puis le petit étron les condamne à mort : réduits à néant du 28 octobre au 20 janvier. Sans AUCUNE raison que des études bidon qui prétendent que ce sont des lieux de contagion, des zones à cleustères. Le métro, oui. Le train, oui. Mais les troquets et restaurants, les seuls lieux où les gens, hors famille stricte et amis très proches, peuvent se rencontrer, se voir, échanger, et se sentir bien, ça non. Le but des mesures « sanitaires » n’est à l’évidence pas sanitaire : il est de détruire le lien social en forçant les gens à avoir peur les uns des autres.
Une très forte proportion de ces établissements ne s’en relèveront pas, je pense au troquet, le seul, de mon quartier. Il vivait petitement, un couple, pas de personnel, c’était le seul, l’unique foyer de vie (en dehors des commerces locaux, essentiellement de la bouffe et du tabac) de tout le quartier, à plusieurs centaines de mètres à la ronde. Par décret, sous prétexte d’urgence sanitaire, alors que d’une part personne par ici ne connaît qui que ce soit qui ait été malade de la bronchite19, et que d’autre part personne n’est allé inspecter s’il n’y a pas du côté du château Saint Honoré des fuites anales dues à l’abus de mandrins colorés, ils auront été placés en coma pendant cinq mois. Ils avaient peu de monde, ils s’étaient fait chier à bloquer l’accès au bar comme ordonné par les imbéciles totalitaires masqués parce que c’est hautement contagieux de boire debout, ils sont assignés à résidence par lettre de cachet et probablement ils ne s’en relèveront pas.
Et je ne vous parle pas de deux-trois habitués, des mal adaptés, plus ou moins pensionnés, pour qui le lieu servait de centre social. Ils y passaient souvent des heures, à siroter du rouge à petites gorgées pour s’entretenir le foie. Pas de relations, un logement minuscule, des solitaires qui n’étaient présents au monde que par là. Ils sont condamnés à la déchéance, à l’infernale solitude. Au désespoir de vivre. Quand on les retrouvera morts chez eux, on dira que c’était le covide.
Dans les deux cas, le troquet et ses clients sociaux, c’est un meurtre. Petit étron a rétabli la peine de mort, pour notre bien. C’est pour vous protéger, goyim. Joyeux Hanouka à tous, ça commence dans une semaine, le 10 décembre, y’a de l’huile pour les lampes.
Bon, j’arrête là pour aujourd’hui. Encore une fois, je voulais aller plus loin et expliquer comment ils nous tiennent. Pas le temps, trop complexe pour faire clair tout de suite mais j’avance. J’y reviens sans doute demain ou le jours d’après.
Je voulais vous raconter en un seul billet comment le gouvernement se fout de notre gueule et nous conduit à l’abattoir ou en prison sous des prétextes scientifiques. Mais bon, le temps d’attention du lecteur ne dépasse sûrement pas cinq minutes, et là il faut plus. J’ai donc décidé de procéder en deux fois (au moins, selon ma fatigue). D’abord les bases essentielles, ensuite la mécanique de mort sociale (et de mort tout court peut-être) mise en œuvre par petit étron et sa bande d’incapables satisfaits.
S’il vous plaît, lisez. C’est pas la peine que Pakounta il se décarcasse si c’est pour être parcouru d’un œil torve et somnolent. Je vous demande cinq minutes. Parce que pour comprendre clairement ce que je vous raconterai d’ici quelques jours, il faut absolument savoir deux choses :
Premièrement
– Le test PCR dont on nous gonfle et regonfle les génitoires N’EST PAS un test « oui ou non ». Ce n’est pas comme un dosage de la glycémie (prise de sang pour mesurer la concentration en glucose, ça donne UNE valeur, pas une gamme de possibilités) ou une numération globulaire (vous avez 5 millions de globules rouges par mm3 de sang, pas « quelque chose entre 2 et 12 millions » selon la manière dont on examine le frottis).
Le test PCR, c’est un truc d’une complexité extrême et d’une astuce diabolique, qui a valu le Nobel à son inventeur, mort l’an dernier et qui a toujours dit qu’il ne fallait pas l’utiliser à des fins de diagnostic. Les fabricants l’ont mis à la portée des labos : le manipulateur n’a qu’à déposer le glaviot contaminé dans le réceptacle prévu à cet effet, ajouter les réactifs (d’une complexité inimaginable) à la pipette et introduire le tout dans la machine (le cycleur), et roule ma poule (je ne vous parle que de la phase dite d’amplification, elle a été précédée dans le cas du coropasvirus par une phase de « rétrotranscription » pour transformer l’ARN du virus en ADN, parce qu’on ne sait pas amplifier l’ARN, seulement l’ADN).
Principe : on chauffe pour dissocier l’ADN en ses deux brins, on refroidit un peu pour permettre la fixation des amorces (je vous expliquerai si vous voulez), puis l’élongation (la duplication de l’ADN) et la libération de sondes qui deviennent colorées dès que l’ADN se duplique, et on recommence le cycle, chauffage (vers 90°C), refroidissement (autour de 70°C), élongation (grâce à une polymérase miraculeuse, une enzyme dite « thermostable » qui tient le coup et fait son job à ces températures infernales de cuisson du gigot beaucoup trop cuit), coloration, et ainsi de suite. À chaque tour, la quantité d’ADN double. En principe, on fait 30 tours, à la suite de quoi on détecte la couleur accumulée, libérée à chaque tour.
Trente duplications, ça fait un milliard de fois. Les quelques molécules d’ADN paumées dans le glaviot, on pouvait pas les voir, évidemment. On les multiplie un milliard de fois, avec un artifice qui fait que de la couleur se libère dans le tube à chaque coup, et il y a alors assez de molécules de couleur pour que ça soit détectable.
Couleur détectée, le test est positif, il y avait l’ADN mortel du virus tueur (enfin, l’ADN fabriqué à partir de l’ARN du virus, tout ça est un bordel insensé), tu es malade, tu vas mourir. Ou au moins tu es condamné à quarantaine pour deux semaines, au pain sec et à l’eau. Pour protéger ta famille, tes voisins et tes collègues (et les vieux, bien sûr) de la peste mortelle dont tu es porteur. Si au bout de ce délai tu n’es pas mort, tu es bon pour tests répétés jusqu’au vaccin salvateur, comme ils disent. Le vaccin qui te tuera ou t’asservira pour toujours.
Bon, je reviens au test. Si au lieu de 30 tours on décide d’en faire 35, par exemple, l’ADN n’est plus multiplié par un milliard (230), mais par 16 milliards (235). Du coup, un échantillon où il y avait très très peu d’ADN, dont la couleur pouvait ne pas être décelable à un milliard de fois, on a de bonnes chances de la voir si elle est encore multipliée par 16… Le test négatif devient positif. Tu ne devais pas mourir, et maintenant tu es condamné. Même le satanique Dr Fauci a un jour déclaré qu’un test PCR à 35 cycles n’a aucune valeur, ça n’a aucun sens. En plus, à ces niveaux-là, on commence à multiplier un peu n’importe quoi, ça devient peu fiable.
C’est pour ça que la France a la plus grande fréquence de positifs au monde. Je ne sais pas quels sont les tests utilisés dans nos labos (et d’ailleurs, dans quels labos ? le petit labo de biologie médicale du coin, qui fait les prélèvements en grattant les trous de nez, je le vois pas vraiment faire toute la manip derrière, même si c’est automatisé ; du coup, est-ce réservé à de gros labos centraux, genre service de virologie d’un CHU ? Je n’ai pas réussi à trouver le renseignement.). Je sais pas, donc, quels tests utilise la Fronce universelle, mais je sais que le test BioMérieux, dont je n’ai trouvé la notice qu’en anglais, fait 45 tours, lui (ça me rappelle ma jeunesse, Johny et Sylvie en 45 tours…). L’ADN dont on recherche la présence est multiplié par 245, soit 32 000 milliards. Normalement, on doit voir la couleur même s’il n’y avait qu’une seule molécule initialement. Et même s’il n’y en avait aucune, probablement. C’est n’importe quoi.
Retenez, c’est la seule chose que je voulais dire et puis je m’emporte, je me dis que tout le monde va comprendre, pas seulement « savoir », mais « comprendre » : plus tu fais de tours d’amplification, plus le test devient « sensible » (il détecte la plus infime quantité) mais sans doute moins il devient spécifique (il détecte aussi n’importe quoi de vaguement similaire et ça fait des faux positifs par paquets de mille). Pour les officiels, que le test soit peu spécifique, on s’en branle : c’est positif, tu es malade, tu vas mourir et les statistiques vont comme ils veulent.
En peu de mots : il suffit de modifier dans un sens ou dans l’autre le nombre de cycles d’amplification pour modifier dans le même sens le pourcentage de positivité des tests. Si tu veux plus de tests positifs, tu fais plus de cycles, si t’en veux moins t’en fais moins. Et en fonction, tu racontes au bon peuple absolument ce que tu veux. Il y a 15 jours, on avait 22 % de positivité, aujourd’hui on n’a plus que 11 %. Les gens sont moins malades, ou on fait moins tourner les tests ?
Deuxièmement
– Ça sera plus bref, parce que ce n’est pas encore en application. Ça concerne les vaccins. Les deux premiers qui se targuent d’être pratiquement au point sont des vaccins à ARN, une technique dont je vous ai dit un mot ici.
Jamais utilisée chez l’homme, cette technique est cependant mise en œuvre « en urgence » en s’épargant toute phase d’étude chez l’animal, ce qui est proprement inimaginable.
Les deux vaccins à ARN (je crois que celui d’AstraZeneca est à ADN, encore pire) annoncent une « efficacité de 90% ». Pour vous, ça veut dire quoi ? Qu’il y a 90 % moins de cas avec le vaccin ? Ou 90 % moins de cas graves ? Ou 90 % moins d’hospitalisations ? Ou 90 % moins de décès ? Ou 90 % moins de passages en réanimation ? Ou tout ça à la fois ?
Sachant que l’énorme majorité des personnes « positives » au test truqué n’ont et n’auront strictement aucun symptôme, et qu’on a bloqué des centaines de millions de personnes chez elles à travers le monde, en réduisant à la faillite d’innombrables petits commerçants et en faisant des millions de chômeurs, sous le prétexte de pouvoir sauver les malades, donc pour l’essentiel les vieux (je suis en tête de file à 80 ans passés), on pourrait se dire que le vaccin n’a d’intérêt que s’il empêche les formes graves, s’il réduit nettement les passages en réa, s’il a un effet clairement favorable pour abaisser la mortalité. Et bien sûr, s’il n’a pas d’effets secondaires graves et nombreux, en particulier chez les vieux, qui résistent mal aux grosses secousses biologiques. Non ?
Eh bin non. J’ai pas le temps d’aller regarder en détail, mais les ordres de grandeur sont les bons. Je crois bien que Pfizaire a enrôlé 43 000 personnes, classées par âge et autres paramètres, et réparties entre vrai et faux vaccin. Et ils attendent qu’ils chopent le covide (de sens). Miracle, ils en ont eu, qu’ils disent, 94 cas, dont davantage chez les faux vaccins. Et le covide était évidemment diagnostiqué seulement sur critères cliniques (on fait pas de PCR à la con chez des gens vaccinés !) : toux, fièvre, malaise. Un rhume, une vague grippe. Ça suffit, ça, pour déclencher la vaccination de centaines de millions de personnes humaines vivantes et pensantes ??? Les effets secondaires : douleur au point d’injection et autres trucs mineurs. Les effets à distance, c’est pas au programme, ils s’en branlent, on verra sans doute dans le « suivi », je sais pas, mais par exemple attaque du système nerveux par l’ARN messager qu’ils injectent encapsulé dans des nanoparticules de gras. Peut-être que ça viendra pas, peut-être que des gens se retrouveront avec une sclérose en plaques, ou une myélite transverse, ou que certains mourront paralysés et asphyxiés par un Guillain-Barré, je sais pas. Mais on peut pas jouer, on n’a pas le droit. Et ils jouent. Pour des milliards.
Il n’y a dans les études en cours aucun critère sur la gravité, la réa, le décès. Qu’est-ce que tu veux tirer comme conclusions de portée sérieuse avec 94 « malades » ? Mais là, ils ont annoncé 90, puis 95 pour cent d’efficacité. Moins de rhumes, donc c’est bon, on va gagner des milliards. Et c’est exactement le même topo pour Moderna (entre parenthèses, Moderna ça fait simple, moderne, sympa, on va pas s’inquiéter ; en réalité, ça veut dire modified RNA, ARN modifié, ou modification par l’ARN, bref c’est ça l’idée ambiance Frankenstein.)
Je conclus pour l’instant là-dessus : ces vaccins sont dangereux, les études n’apportent aucune idée de leur efficacité pour éviter les formes graves et les décès, et le chiffre des cas sur lesquels reposent les évaluations est dérisoire et même insultant. Quand ils auront des résultats en double aveugle sur 100 000 personnes au bout de 10 ans, on verra. Pour l’instant, ils nous injectent de l’eau salée ou la mort, pour des milliards.
Et partout ils sont exonérés de toute responsabilité pénale ou financière en cas de conséquences graves.
C’est l’état qui prend ça en charge. Avec notre argent, pour payer les obsèques après le vaccin injecté de force. Petit étron a dit que ça serait pas obligatoire, mais il a pas dit qu’il serait interdit de discriminer à l’embauche ou pour l’entrée dans les magasins en fonction du certificat ou de la puce affirmant l’injection.
C’est maintenant qu’il faut agir, se lever, hurler, exiger la liberté. Dans SIX MOIS, il sera trop tard. Jamais je n’aurais imaginé voir une pareille horreur tranquille…
Pour comprendre ce qui se passe, pour comprendre que le covide est une fausse crise décidée au niveau mondial pour démolir les économies et mettre en place, après ruine, le nouvel ordre, le « great reset » (grand redémarrage), il FAUT regarder ce film et le télécharger avant que les (((parenthèses))) le censurent définitivement.
Modestement, on peut aussi lire ce que j’ai écrit sur le sujet depuis janvier où j’ai été le premier à dire que le but était de nous vacciner. Pour nous détruire. On approche. Le pays entre en agonie, et c’est voulu. Le croque-mort s’appelle Macron, il agit sur ordre.
Je le répète, n’hésitez pas à l’enregistrer. Si la censure la bloque vous serez heureux de la revoir et de consolider vos arguments pour virer les merdes qui nous emprisonnent.
Voilà, c’est ici :
La vidéo que j’ai insérée est sur la plateforme bitchute. Il y a d’autres adresses, comme chez lbry
https://cdn.lbryplayer.xyz/api/v3/streams/free/holdup_ledoc/f7456710948d08c175f2b4e4877dc452d51bd8cb/ad105a (lien tué dans les heures suivantes)
ou chez odyssee (merci à elba)
https://odysee.com/@holdup_ledoc:9/holdup_ledoc:f (lien tué dans les heures suivantes)
Il paraît qu’elle est aussi chez vimeo, mais j’arrive pas à la trouver (vérification finalement faite, elle a existé mais elle est désormais 404). Youtube, c’est sans espoir, c’est aux mains de gougueule, c’est pourri jusqu’à la moelle, et nuisible (ils vous pistent).
La censure tourne à fond (mes deux liens ont disparu en quelques heures), aussi fort que la propagande sur l’épidémie de peste noire fourrée typhus dont on ne cesse de nous bourrer les oreilles et les yeux, qui est tellement impressionnante qu’elle a carrément fait disparaître la grippe, dont les US ne tiennent désormais plus les statistiques. TOUT est covid, tout est biden, tout est communiste. Sincèrement, faites gaffe, l’opération d’élimination de l’homme blanc a commencé. Ce sont des (((blancs))) qui mènent la danse.
Cette infection malingre a soif de pouvoir, et surtout de pouvoir voir qu’il a du pouvoir. Cette glaire intestinale exclut d’avance de l’humanité ceux qui ne voudraient pas se faire vacciner. Avec un peu de chance, ce déchet prendra son écharpe rouge sang (symbole de force, petit ?) dans les rayons de roue de son cabriolet et crèvera étranglé. Ca lui fera peut-être une petite érection, va savoir.
A tout hasard, signalons qu’aucun vaccin à ARNm n’a jamais été employé sur l’homme, et qu’on ignore totalement quels en sont les risques à court et surtout à long terme. Dans Wikipédia, à l’article Vaccin à ARN, on peut lire (rouge et gras sont de moi) :
l’ARN extracellulaire est connu pour être un facteur favorisant la coagulation sanguine et augmentant la perméabilité de l’endothélium. L’accroissement de la perméabilité endothéliale peut entraîner un œdème et stimuler la coagulation sanguine ce qui entraîne un risque de formation de thrombus, d’où des risques d’infarctus (notamment d’infarctus cérébral), de thrombose ou encore d’embolie pulmonaire.
En septembre 2020, l’association anti-OGM CRIIGEN fait état, dans un rapport signé par le président de son conseil scientifique Christian Vélot, de risques plus élevés d’immunotoxicité, de génotoxicité par mutagénèse et d’apparition de nouveaux virus par recombinaison génétique causés par de tels vaccins. Le rapport préconise en conclusion de suivre en la matière un principe de précaution incompatible tant avec l’urgence qu’avec les articles 2 et 3 du règlement européen 2020/104319,20
Le vaccin devra obligatoirement être pratiqué en premier lieu chez les ministres et toutes les personnalités qui en préconisent l’emploi. Si ces personnes survivent, le vaccin est sûr. Si elles meurent, la population est sauvée.
Il faut impérativement refuser tout vaccin non étudié comparativement pendant plusieurs années et ayant fait la preuve formelle de son innocuité.
L’immigration est une chance pour la France.
L’islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix.
Attention, cette photo, éclatée pour éviter le gore, provient d’une image « originale » vue dans plusieurs médias. Cet « original » est trafiqué, voir ma rectification plus loin.
Abasourdis, imprévisible, quartier très calme, inadmissible, école de la république, martyr de la république. Inqualifiable, on n’avait pas vu arriver. C’est la république qui est attaquée (ce con de Blanquer), la république ne cède pas (le même), un pilier de la république, exprimons vif soutien, restons unis face à la barbarie et l’obscurantisme, l’assassin salit sa religion (ce con de Méchancon). L’Assemblée a appris avec effroi, a salué la mémoire, a exprimé sa solidarité, et s’est mise debout avec ses masques pour pas choper d’infection, on sait jamais. Le petit immondice est passé jeter un regard, comme à Notre Dame, comme partout où la France s’enfonce dans la mort. Avec beaucoup de fermeté, il a affirmé « nous ferons bloc, ils ne passeront pas ». « Il a voulu abattre les valeurs de la république ». Ta tsoin. Résidu de détritus.
Le mot FRANCE n’a pas été prononcé.
La routine, désormais. Pas un geste ne sera fait. Un vague responsable du coin a dit « j’ai envie de pleurer », au lieu de « j’ai envie de tuer ».
Conflans, 16 octobre 2020
Rectificatif et précisions
Pour ceux qui ont pu voir la photo non trafiquée (pas celle que j’ai publiée plus haut), c’est un photomontage. Le cou est impossible, beaucoup trop mince, trait de coupe absolument lisse, ça n’existe pas. La tête est bien celle d’un type mort ou inconscient, il me semble qu’il a bien une profonde coupure sur la joue droite, mais le cou apparaît comme une surface lisse sur laquelle on aurait étalé du sang. Je m’en suis aperçu tout de suite (j’ai fait du dessin, dans ma folle vieillesse) mais je me suis laissé prendre par le flot des faits et je me suis énervé. Les deux phrases en vert et tout ce que j’ai retenu des réactions, ensuite, tout ça demeure. Mais l’attentat est trop bizarre, ça ne marche pas.
Il n’est pas impossible que ce soit effectivement une tête décapitée, mais pour avoir vu une bonne vingtaine de vidéos de décapitations au nom de l’autre con, il y a une chose sûre : une fois la tête séparée, il n’y a pratiquement plus de cou. Celui qu’on voit ici, très mal dessiné, c’est un peu comme si on l’avait découpé jusqu’aux clavicules, et si on avait enlevé tout l’arrière du cou, en arrière des oreilles. C’est impossible.
Et je reste dubitatif : le mec n’avait que 47 ans, à ce que j’ai lu, et on voit mal comment il aurait pu se faire massacrer comme ça par un 18 ans. Couper la tête au couteau, au poignard, c’est difficile, ça prend du temps, ça pisse 3 litres de sang. Ici, la tête n’est pas du tout à l’endroit où elle a été coupée (normalement, chez les gens bien constitués, à côté du corps), il n’y a qu’un gros verre de sang et des éclaboussures inexplicables.
Je vous ferai un petit croquis, mais je voulais me racheter tout de suite : la photo publiée ici ou là (Démocratie participative en a fait son bandeau de titre) est un montage d’une tête de type mort ou inconscient et blessé avec un cou totalement faux.
Le point d’interrogation montre l’invraisemblable ligne de cou. Les tirets tracent approximativement un profil de cou normal.
Je note pour terminer que, pour la 783ème fois (ou la 1274ème ?), les flics ont tué de huit balles (d’après le son de la vidéo où je n’ai rien vu) un type sans doute drogué et armé d’un couteau, à plusieurs mètres de distance. Certes, certes, ils craignaient une ceinture d’explosifs. Mais le mec est mort alors qu’on pouvait lui péter le genou ou lui arracher l’épaule.
De toute manière, si ça se trouve, il ne portait même pas de masque. Et l’épisode lui aura épargné le couvre-feu.
Et mon emportement et ma crédulité illustrent pas mal ce qui nous arrive : il n’y a pas d’épidémie (probablement pas même de virus nouveau mais c’est sans importance), mais tout le monde y croit. Dans le cas de cet attentat, il s’est passé quelque chose, mais quoi ? Dans le cas du covide, il s’est passé quelque chose apparemment en mars avril, mais quoi ?
Enfin un lecteur nous apporte la clarté
L’un de mes lecteurs (qui devrait bien avoir un blog lui-même, comme Equa, d’ailleurs) a regardé avec plus d’acuité et il devient clair, comme l’avait dit Carine, que cette horreur sanglante sous la tête n’est que le masque que le malheureux portait réglementairement, on voit encore l’élastique autour de l’oreille.
L’agrandissement ci-dessous identifie bien les plis et les coutures du masque, moins bleu qu’avant. Le corano virus se fout des masques…
Tragédie et horreur. C’est comme ça, sûrement, que des parties de la région des Balkans, longuement occupée par les mahomistes, sont devenues muz (Albanie) et d’autre pas (Serbie ou Grèce). Peut-être que les Albanais ont été davantage décapités.
Le monde se met à me faire horreur.
Et pardonnez-moi pour ce bordel total, j’ai réagi trop vite. Faut pas. Mais après je réagis trop lentement, et j’écris rien.
La honte devant l’exercice de théâtreux de cet imbécile, même pas capable d’avoir des expressions qui signifient un sentiment vrai. Brizou, qui lui apprenait le métier, ne devait pas bien sucer, il est mauvais. Il démolit le pays, ça lui arrache pas une larme.
Le dégoût devant ce répugnant petit personnage qui n’est pas capable d’une pensée plus élaborée que « lavez-vous les mains souvent » et « aérez 10 minutes 3 fois par jour ». Alors qu’il a été élu (pas par moi) pour faire tourner la société et l’économie du pays, il bave des conseils de médicastres pour une maladie terminée depuis près de 6 mois, si cette maladie a été autre chose que du Rivotril en perfusion.
La haine devant cette nullité qui pour l’instant échappe à toute sanction, mais qui restera dans l’Histoire, si cela existe encore dans 50 ans, comme le pantin sucé trop tôt qui a détruit la France en prétendant la protéger, sur ordre de ses maîtres.
Je peux pas écrire beaucoup plus, j’ai envie de vomir cette bouillie humaine. Vous, vous pouvez. Ecrivez-lui, exactement ce que vous voulez, quelques arguments ou qualificatifs bien trouvés, en faisant bref. C’est un droit absolu. Surtout pas par mail, on vous retrouverait par l’électronique. Sur papier libre, que vous ne touchez pas avec les doigts, dans une enveloppe que vous ne touchez pas avec les doigts et que vous ne léchez pas pour fermer (un coup de sopalin humide si c’est pas une autocollante). VOUS N’AFFRANCHISSEZ PAS, c’est gratos, c’est légal, nos ancêtres ont conquis ça.
Si vous êtes 10 à le faire, ça se perdra. Cent, les responsables du courrier lèveront un cil. Mille, on toussera. Dix mille (surtout en un temps bref), ça lui viendra aux oreilles. Il faudrait cent mille ou un million, je suis sûr qu’avec mon lectorat innombrable ça va le faire. Ne crachez pas sur le papier, l’ADN ne disparaît jamais.
Postez, conscience tranquille. Voici l’adresse :
Micromacron se prépare à tuer. C’est quasi inéluctable, les médias sont déchaînés, les profs de médecine en soif de pouvoir demandent des mesures très strictes, des imbéciles médicastres affirment que le virus est le plus fort et qu’il faut un « reset » immédiat.
C’est foutu. Masques partout, distances, fermetures, couvre-feu, confinement des vieux (moi), on peut s’attendre à tout de la part d’un irresponsable incompétent.
Ils vont tuer des milliers de petites boîtes d’un trait de plume, et foutre au chômage et à la misère des dizaines ou centaines de milliers de pauvres gus pour une « maladie » qui n’existe que parce qu’on teste. Sans les tests, il ne se passe rien, quelques centaines de patients « catalogués covide » sur quelques milliers en réa, comme d’habitude. Rien.
Mais le public est prêt et demande la mise à mort. Le public de corridas est constitué de cons.
On saura mercredi soir. C’est terrifiant. « Quel qu’en soit le prix », il disait, l’infatué.
Pendant ce temps, en Suède (patience, ça peut prendre 30 secondes pour s’afficher) :