Le pronostic est très sombre avec issue fatale à relativement court terme : le cancer macron est inopérable. La malade est dans le coma, 58 % des cellules de l’organisme sont cancéreuses, on parle de connards ou d’ordures, et les 42 % restantes vont être tuées par asphyxie.
Prions pour qu’un traitement miracle fasse crever le cancer et l’emporte en enfer avec son plug anal.
Avec la destruction des Blancs et de leurs civilisations, le monde détruit la beauté. Notre beauté. Ici, Roméo et Juliette, la scène du premier baiser, en haut dans le film de Zeffirelli, en-dessous dans je ne sais quelle adaptation théâtrale ou filmée, au goût de l’époque, quelque part en Angleterre ou aux US. Un genre de Womio et Jouliep, vous voyez ?
Il n’existe, comme on le voit, ni races ni civilisations.
Micromacron se prépare à tuer. C’est quasi inéluctable, les médias sont déchaînés, les profs de médecine en soif de pouvoir demandent des mesures très strictes, des imbéciles médicastres affirment que le virus est le plus fort et qu’il faut un « reset » immédiat.
C’est foutu. Masques partout, distances, fermetures, couvre-feu, confinement des vieux (moi), on peut s’attendre à tout de la part d’un irresponsable incompétent.
Ils vont tuer des milliers de petites boîtes d’un trait de plume, et foutre au chômage et à la misère des dizaines ou centaines de milliers de pauvres gus pour une « maladie » qui n’existe que parce qu’on teste. Sans les tests, il ne se passe rien, quelques centaines de patients « catalogués covide » sur quelques milliers en réa, comme d’habitude. Rien.
Mais le public est prêt et demande la mise à mort. Le public de corridas est constitué de cons.
On saura mercredi soir. C’est terrifiant. « Quel qu’en soit le prix », il disait, l’infatué.
Pendant ce temps, en Suède (patience, ça peut prendre 30 secondes pour s’afficher) :
Whilst Britain locks itself up again in varying degrees of “tiers” and as millions lose their jobs and as masks are mandated almost everywhere and as “cases” keep rising and with no end in sight…
La corrida est un truc que je n’aime pas, sans plus. Je me fous un peu que le brave taureau en bave, c’est pas plus qu’en nature, face à un lion qui éventuellement commence à le bouffer vivant, ou à un varan de Komodo, qui le mordrait et le suivrait pendant que la blessure s’infecte et que le taureau s’affaiblit, s’épuise, se couche et meurt. Je m’en fous un peu mais j’en ai vu une à 18 ans et j’ai pas aimé, c’est violent et moche, et assez stupide. En plus, l’un des taureaux était blanc, et vraiment ça saignait beaucoup, pas la belle teinte cuivrée luisante qui séduisait sans doute Hemingway, non, simplement rouge. Rouge sang, tiens. C’est pas la souffrance de l’animal, qui me gêne, c’est le fait qu’il n’a aucune chance et que les gens se réjouissent. La mort n’est jamais un beau spectacle.
Mais bon, ça se déroule toujours pareil. Le taureau fougueux (ou pas, d’ailleurs) s’énerve contre des imbéciles en costumes coloriés et ajustés pour bien mouler les génitoires, qui manient des capes roses et jaunes. Il fonce là-dedans comme un con, manifestement ça l’énerve qu’on vienne comme ça le faire chier. On ne s’installe pas sur le terrain d’un gaillard couillu comme lui.
Ensuite, ça s’aggrave. Un autre colorié pailleté arrive monté sur un cheval équipé d’œillères et enveloppé de dunlopillo. Il est muni d’une énorme pique à pointe acérée. Le taureau n’est pas au courant, il fonce sur ce couple infernal et hop, il se prend la pique dans le cou. C’est le jeu : il faut lui faire horriblement mal au cou pour qu’il mette moins d’énergie à lancer les cornes vers le haut en cherchant à se défendre. Quand il a la base du cou et les épaules bien poisseuses de sang cuivré (poésie farouche et sauvage) après deux ou trois coups à déchiqueter un bras humain, le cavalier se barre et on fait la place aux tortionnaires, les braves qui vont piquer toujours au même endroit, haut des épaules et base du cou, six harpons joliment appelés banderilles et entortillés de rubans et dentelles à la con, mais ce sont juste de lourds harpons qui restent plantés et torturent la viande en se ballottant au rythme des mouvements du « fauve ».
La bête est désormais ravagée de douleur et donc handicapée pour écarter un ennemi ou d’ailleurs pour le fuir, mais le taureau ne fuit pas, son instinct lui dicte de dégager ceux qui viennent l’emmerder. Et c’est par conséquent le moment choisi pour faire entrer le tueur. C’est comme ça que ça s’appelle, en espagnol : matador, substantif du verbe matar, tuer. On se fait de la poésie exotique en gardant ce nom étranger qui sonne comme l’or des Amériques, mais le vrai c’est tueur. Simplement tueur.
Tout fiérot dans son costard multicolore ajusté, il trimbale une épée qu’il camoufle dans la muleta, un grand torchon rouge (en espagnol, pour des raisons que je ne parviens pas à m’expliquer, muleta signifie béquille…). Il agite l’ensemble devant le pauvre bestiau qui commence à fatiguer (c’est le but) et qui, avec son QI de 20 ne comprend pas que ce qui l’emmerde c’est les deux pattes et non pas le torchon. Tous ces mouvements s’appellent des passes ; parfois, coup de chance, la corne du taureau tape dans le bonhomme, et le spectacle s’arrête là, mais c’est rarissime.
Au bout de dix-quinze minutes à se lancer contre le torchon qui s’écarte, le bestiau est épuisé, essoufflé, sanguinolent, bouffé de douleur, rongé d’exaspération, la tête baissée pour avoir moins mal en haut du dos, les pattes avant démolies par la douleur aux épaules. Souvent il s’arrête, il doit se dire je vais me tirer d’ici, ce connard va rester, tant pis faut que je me couche, ça me fait trop mal. Et c’est à ce moment, dans une posture solennelle, que le tueur dégage l’épée du torchon, se plante devant la bête hors d’haleine, et la lui enfonce jusqu’à la garde au ras de la colonne vertébrale, avec la certitude de crever un poumon et, avec de la chance, de trancher l’aorte ou de transpercer le cœur, ce qui met un terme immédiat aux réjouissances. Mais il faut parfois (souvent) qu’il s’y reprenne à plusieurs fois, il était pas dans le bon axe, il a touché une côte ou seulement écorché un poumon. Je me souviens plus des détails, mais c’est lamentable. Une épée spéciale pour finir, ou le descabello, une sorte de poignard pour piquer derrière la tête et couper les circuits nerveux, la bête s’effondre. Les gens sont contents. Le taureau aussi : en signe d’hommage, s’il a été brave, son cadavre bouffé d’acide lactique et d’adrénaline fait glorieusement le tour de l’arène, traîné dans le sable par des chevaux. Avant, pour récompenser le tueur qui est un gars à plaisirs simples, on lui a éventuellement coupé les oreilles et la queue. Que du bonheur !
Prochainement, si j’y arrive, je vous raconterai comment le covide n’est qu’une covirrida dans la vaste discipline de la tauromachilde, un spectacle pour riches. Chez nous, le tueur est le macrontador. Pensez-y un peu : nous sommes le taureau, l’immense majorité de nos peuples n’a pas la moindre idée qu’on puisse vouloir le détruire. Des organisateurs de plaisirs de luxe ambiance mise à mort de toute beauté, les taurotchild, ont lancé une covirrida.
Le confinement, c’était les piques. On s’en est sortis fatigués, beaucoup à demi-ruinés. Calme apparent. Et puis sont arrivées les banderilles, on en est là : confinement par ci, interdictions par là, amendes, restrictions, fermetures… Le taureau lance de vagues coups de corne, ne comprend pas, les troquets marseillais râlent, les péones (la flicaille) viennent fermer et dresser procès verbal. Les faillites s’accumulent. Les médicastres fous exigent le masque, la distance. Une économiste prénommée Esther ((())) demande un confinement général de 3 semaines avant Nowel. J’imagine que Hanouka n’est pas tout à fait à la même date, donc. Y’a qu’à regarder si les chandeliers s’exhibent, on saura.
Stratégie de la tension : les gens sont terrorisés, redoublent de masques et de délation. Le pays va crever.
Le macrontador a justement été élu pour ça. Avec sa bénédiction, on va sortir l’épée du vaccin.
Cet immeuble énorme de 47 étages n’a pas été touché par un avion, il n’était pas bouffé par un incendie de ses fondations, mais en 6 secondes il est tombé tout droit, sans vriller, sans pencher d’un côté ou d’un autre, en accélérant selon la loi de la pesanteur, exactement comme si tous les piliers verticaux de sa colossale structure avaient été cisaillés à l’explosif, par étages, du bas vers le haut, au même instant à chaque niveau.
Comme si.
C’était il y a 19 ans, la première énormité de la fin de notre monde, la preuve de l’attentat au cutter par 19 arabes pilotes en cours d’apprentissage du Cessna.
Et maintenant, le covide. Terreur sur la Terre. Ruine, violence, famine. Et sans doute épidémies véritables. Huit milliards de morts ?
D’où le titre de cette vidéo passionnante, Plandemic.
C’est sous-titré en français, ça dure nettement plus d’une heure, mais ça vous expliquera pourquoi on vous force à porter des masques qui laissent passer la fumée en vous faisant croire que tout le monde va mourir alors que le taux de survie est de 99,9% et que 80% des décédés ont plus de 80 ans. Le vaccin arrive, et ce sera la fin. Les gosses, déjà, apprennent à avoir peur les uns des autres et à obéir pour ne pas mourir.
Le peuple est tellement terrifié et tellement inculte qu’il ne réagit pas. C’était étudié pour….
(Malheureusement, pas possible de faire apparaître la vidéo ici. Je sais pas pourquoi, mais je sais que bitchute est mal vu de nos ordures, un lien vers des vidéos bitchute m’est souvent signalé comme dangereux, par exemple. Possible que WordPress n’apprécie pas non plus… Allez voir, vous saurez pratiquement tout.)
N’oubliez pas de prier pour que Bile Getz, ignoble bonhomme, soit condamné à mort et exécuté. Par injection, évidemment.
Un papier essentiel de D emo crati e part ici pative. Sans déconner, munissez-vous d’un VPN, ça vous coûtera 40 euros par an et vous court-circuiterez tous les barrages de l’état sous contrôle djouze qu’on nous vend sous le nom de démocratie. Voilà.
Dans ce qui suit, pour des raisons de censure robotique éventuelle, j’ai remplacé le mot j u i f par mon habituel djouze.
Captain Harlock Démo cratie Par ticipa tive
15 Juillet 2020
S’il y a un concept qui entraîne la confusion dans nos milieux, c’est bien le concept de guerre civile. Il est d’ailleurs de plus en plus banalisé par des gens qui, a minima, n’y comprennent rien ou, pire, dénaturent ce qu’est vraiment une guerre civile.
La plupart des gens qui emploient ce mot à droite s’imaginent une sorte d’insurrection ethnique armée depuis les banlieues de peuplement allogène avec des scènes hollywoodiennes de type libyen en mode « Call of Duty ».
Eric Zemmour aime à en parler.
Tout ceci est bel et bon mais n’a rien à voir avec une guerre civile.
Ces allogènes, dont la subsistance dépend de la bienveillance du gouvernement, ne sont pas des Français en guerre contre d’autres Français. Ce sont des envahisseurs téléportés en Europe par l’Etat Français pour repeupler l’ancienne Gaule dans le cadre plus large de l’écrasement de la race blanche voulue par la superstructure djouze qui contrôle l’Occident. Parler de « guerre civile » dans un tel contexte est aussi absurde que de parler de guerre civile à propos de la Bataille de Poitiers quand Charles Martel écrasa de façon décisive l’envahisseur musulman.
Une guerre civile se caractérise par l’affrontement entre factions politiques au sein d’un même groupe humain pour la suprématie.
Est-ce à dire que nous sommes dans une guerre raciale mais pas dans une guerre civile ?
La guerre raciale est déjà là, elle est horizontale et de basse intensité. Elle reste de basse intensité car les populations blanches achètent du temps de différentes façons pour éviter que la guerre raciale ne s’intensifie, notamment par le « White Flight » qui consiste à abandonner de l’espace contre un répit de plus ou moins longue durée. Mais surtout, elle reste de basse intensité parce que l’Etat veille à ce qu’elle le demeure en empêchant les populations blanches de se défendre, tant en paroles qu’en actes. Se faisant, il prend déjà parti pour un camp (les allogènes) contre l’autre (les indigènes).
C’est précisément ici que débute l’empire de la guerre civile dont si peu de gens comprennent la nature et la dynamique.
Nous sommes actuellement au stade de la guerre civile froide. La guerre civile chaude éclate quand l’Etat se scinde en factions militarisées une fois que le processus politique institutionnel a implosé de manière irréversible.
Je vais donner un exemple de ce type de basculement.
En 1793, en Vendée, la population s’est soulevée face au pouvoir révolutionnaire parisien qui s’en prenait avec virulence à l’identité religieuse des populations de l’Ouest tout en recrutant de force des hommes de cette région pour aller mourir aux frontières, à l’Est. Les paysans vendéens avaient perdu toute confiance dans un système politique qui était de leur point de vue biaisé et injuste. Le refus de tout compromis de la part de la Convention à Paris précipita l’effondrement du processus politique institutionnel. Une fois la décision de se soulever prise, les paysans vendéens ne se sont faits aucune illusion : seuls, ils n’avaient aucune chance sur le plan militaire. Leur première initiative a consisté à aller démarcher les nobles, ces derniers étant des militaires de métier de naissance. C’est à l’instant où les nobles acceptèrent d’encadrer l’insurrection paysanne que la guerre civile à proprement parler débuta : une partie de l’Etat, c’est-à-dire les anciens officiers de l’armée royale, entrait en conflit contre l’autre partie, à savoir les officiers restés fidèles au pouvoir révolutionnaire.
Cette implication signifiait de facto la reformation de l’Etat royal dans l’Ouest du pays, ce qui entraîna l’intervention de la Grande-Bretagne dans la nouvelle guerre civile avec l’appui des aristocrates de l’ancien état déjà réfugiés à Londres. Cet affrontement entre Blancs (royalistes) et Bleus (révolutionnaires) préfigurait celui qui eut lieu en Russie entre généraux blancs (tsaristes) et généraux rouges (communistes). A chaque fois, l’Etat se scinde en factions dirigées par des cadres de ce dernier.
La guerre civile actuelle est donc distincte de la guerre raciale que nous connaissons qui n’est qu’un des fronts ouverts par l’Etat et les élites endjouzées qui le contrôlent contre les autochtones blancs. La guerre civile ouverte n’éclatera que lorsque l’Etat implosera en diverses factions composées de part et d’autre d’anciens cadres du régime qui auront, pour diverses raisons, décidé de choisir un camp. Or, vous le voyez, les cadres politiques du régime actuel, dans leur très grande majorité, soutiennent les allogènes contre les Blancs parce qu’ils estiment qu’en l’état actuel des choses, les Blancs perdent la guerre politique.
La France va éclater comme la Yougoslavie
Laissez-moi clore tout de suite un point : les allogènes ne tiendraient pas un mois contre l’armée française si cette armée recevait l’ordre d’écraser avec tous les moyens à sa disposition une insurrection raciale. En fait, même la Gendarmerie et la Police seules, si elles recevaient l’ordre d’écraser par la force une telle insurrection, y parviendraient sans grand effort.
La question n’est pas militaire, au sens technique du terme. C’est une question politique.
Ce qui caractérisera la guerre civile chaude c’est qu’elle sera un affrontement entre Blancs pour déterminer l’avenir de l’Europe de l’Ouest. D’un côté, nous avons les Blancs sémitisés sous commandement djouze et leurs supplétifs allogènes, de l’autre nous avons les Blancs racialement conscients de leur destin commun qui veulent renverser le système d’exploitation judéo-démocratique pour reprendre le contrôle de leur pays.
Sous le masque de la démocratie, le djouze recrute des Blancs zombifiés issus de la bourgeoisie urbaine ainsi que des allogènes pour qu’ils aident le parasite hébraïque à contenir toute rébellion des producteurs blancs. C’est la raison pour laquelle Assa Traoré et son gang de nègres sont transformés en vedette par les médias djouzes. C’est aussi la raison d’être du mouvement djouze Black Lives Matter.
Quoi qu’il en soit, il est absurde de continuer de raisonner selon les termes nominaux du régime actuel. Quand le basculement aura lieu, plus rien ne subsistera de l’ancien système car toutes les représentations et valeurs sur lesquelles il a été construit se seront évaporées.
Nous avons des exemples du processus qui nous attend dans l’histoire récente, comme celui de la Yougoslavie communiste. La Yougoslavie était un assemblage de groupes ethniques placés sous la domination du Parti Communiste. En réalité, le Parti Communiste était contrôlé par la majorité serbe depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale et l’antiracisme professé quotidiennement contre « les fascistes » [une catégorie où étaient assignés tous les ennemis réels ou supposés du système] par les médias communistes yougoslaves visait à préserver la suprématie qu’exerçaient les Serbes sur les autres peuples grâce à l’état yougo-communiste.
Ce qui a précipité l’implosion du système, c’est le passage de la direction serbe du Parti Communiste yougoslave au nationalisme serbe explicite. C’est un incident, marginal en soi, qui a été l’élément déclencheur de la guerre civile. En 1987, Milosevic, président de Serbie et leader de facto de la Yougoslavie communiste, se rend au Kosovo, une région de la république de Serbie comme l’est la Normandie pour la France actuelle. Pendant sa visite, des membres de la minorité serbe de cette région l’interpellent en dénonçant les violences et brimades dont ils se disent l’objet de la part de la majorité albanaise de la province. En se déclarant du côté des Serbes, Milosevic rompt devant les caméras l’équilibre précaire du système en engageant l’état yougo-communiste aux côtés d’un groupe ethnique contre un autre.
Quand il retourne à Belgrade, les membres non-serbes de la direction du Parti Communiste l’interpellent dans une réunion à huis-clos et lui disent, « c’était quoi ce numéro au Kosovo ? ».
Cet incident n’était que la goutte d’eau. Les tensions ethniques montaient depuis les années 70 en Yougoslavie, notamment lors des rencontres de football où les ultras de chaque groupe ethnique s’affrontaient violemment en marge des matchs.
Après ce coup d’éclat de Milosevic, c’est l’effet domino. Les autres groupes ethniques ne perçoivent plus l’état yougo-communiste que comme un instrument du colonialisme serbe. Si pendant un temps, les cadres communistes croates, slovènes, bosniaques ou albanais pensent qu’il est possible de réformer la Yougoslavie pour réduire l’influence serbe, les populations abandonnent très vite cette idée. C’est la petite Slovénie qui très vite fait sécession en premier. L’état yougo-communiste réagit mollement compte tenu du peu de poids de cette république. En revanche, quand les Croates se mettent en mouvement à la suite des Slovènes, la guerre civile chaude éclate.
A ce moment-là, la plupart des anciens cadres croates du système communiste rallièrent la cause nationaliste et indépendantiste et montèrent ex nihilo une armée nationale pour chasser les forces yougo-communistes hors de leurs territoires. En quelques semaines, les mêmes cadres communistes croates qui persécutaient leurs compatriotes au nom de la lutte antifasciste se transforment en ultranationalistes.
Sur le papier, les Croates n’avaient militairement aucune chance puisque l’armée yougoslave était aux mains des Serbes avec la formation, l’entraînement et le matériel que cela suppose. Mais politiquement, les Serbes tentaient de maintenir un édifice dont les fondations étaient dans un état de putréfaction trop avancé pour qu’ils puissent gagner.
La France est exactement dans la même situation mais à un détail prêt : sa situation objective est beaucoup plus grave que celle de la Yougoslavie. Non seulement en raison du fossé racial, culturel et religieux que les politiciens ont créé ces 50 dernières années, mais aussi en raison de l’extrême dépendance des gens vis-à-vis de l’Etat. Si l’Etat Français devait devenir économiquement défaillant avec un effondrement financier et monétaire complet, la seule chose que pourra faire l’Etat pour empêcher son éclatement serait l’usage de la force.
L’usage de la force soulève immédiatement la question de la légitimité. Cette légitimité est soumise à un paramètre qui doit être pris en compte : la disparition rapide de tous les codes culturels et moraux communs sous l’effet du libéralisme sociétal et de l’individualisme djouze. Or, sans morale commune pour asseoir son autorité, aucun système ne peut recourir à la force avec l’ascendant psychologique que confère la légitimité. Pour regagner une part de la légitimité perdue, l’Etat doit prendre fait et cause pour un camp contre l’autre. En toute logique, celui qui semble le plus à même de l’emporter.
Le problème que rencontre l’Etat Français est celui de sa neutralité théorique face aux tensions montantes entre groupes raciaux et religieux. Comme Milosevic en 1987, soit 4 ans avant le début de la guerre civile yougoslave, la pression monte de plus en plus sur l’Etat pour qu’il clarifie sa position et cesse de jouer de l’ambiguïté pour gagner du temps. Milosevic, placé sous la pression de plus en plus forte de l’opinion publique serbe, a finalement été contraint de choisir le camp serbe. D’abord et avant tout parce qu’en tant que politicien, c’est le camp qui lui semblait avoir le plus de chances de l’emporter sur le terrain.
Nous avons nous aussi des signaux avant-coureurs qui nous annoncent pour qui va pencher l’Etat lorsque la crise deviendra paroxystique entre les différents groupes raciaux et religieux.
Les médias n’offrent pas une lecture ethnique des événements quotidiens en France mais ce n’est pas pour autant qu’ils ne sont pas conditionnés par ce paramètre. Les meurtres récents de Mélanie Lemée et de Philippe Monguillot par des arabo-musulmans contraignent des officiels du gouvernement à se déplacer tout comme Slobodan Milosevic a dû se déplacer.
Pour le moment, le flottement prévaut encore. Des cadres du régime poussent pour choisir le camp négro-musulman et marxiste, dans la foulée de ce veulent les grandes multinationales occidentales.
D’autres, face à la colère blanche, préfèrent maintenir une neutralité de façade pour ne pas totalement rompre avec leur principale ressource de revenus fiscaux et continuer ainsi à naviguer à vue en répétant les mantras républicains sur le « vivre ensemble ».
Mais cet équilibre est précaire.
Un moment clef arrivera, tôt ou tard, où c’est le chef de l’état en fonction qui tranchera en prenant parti pour un camp, comme Milosevic fût contraint de le faire. Ce sera la pression des événements qui forcera ce président à sortir de sa neutralité. Après quoi l’État commencera à se décomposer sous le poids des forces centrifuges devenues trop puissantes pour être jugulées. Dans chaque corps de l’Etat, des factions se formeront qui seront déterminées à s’emparer du contrôle de la part étatique dans laquelle ils se trouvent. Le lent pourrissement des 50 dernières années deviendra pleinement apparent au point où tout le monde, comme par enchantement, dira, « je l’ai toujours dit ! ».
Ce scénario va se répéter en Allemagne, en Belgique, en Grande-Bretagne, aux Pays-Bas, en Amérique du Nord, bref dans tous les états blancs contrôlés par la démocratie djouze.
Je fais quoi ?
Des lecteurs ne manqueront pas de me dire, « oui, d’accord, j’ai compris, mais je fais quoi ? ». Avant de vous demander ce que vous devez faire, vous devez vous demander où vous devez le faire.
Mais aujourd’hui, contentons-nous du principe fondamental.
Imaginez-vous en 1990, en Yougoslavie. En sachant ce que vous savez maintenant de la façon dont a fini la Yougoslavie, d’après vous était-il préférable de vivre dans une enclave bosniaque cernée de Serbes comme Sarajevo à la veille de la guerre ou plutôt de résider dans une région homogène de votre groupe ethnique ?
L’extrême volatilité d’un environnement multiethnique et multiracial, en situation de crise, fait de vous une cible pouvant être liquidée à n’importe quel moment. Vous ne recevrez pas de lettre ou d’email avec une date pour vous avertir.
Vous devez mettre autant d’espace que possible entre vous, vos proches et les autres groupes ethno-raciaux. Quand l’Etat Français implosera, aucun flic ne se pointera pour sauver votre famille d’une horde d’animaux venus l’exterminer. Vous serez absolument seul si vous vivez isolément.
Comme jadis Radio Mille Collines au Rwanda, ayez à l’esprit que tous les jours, les médias djouzes autrement plus puissants qu’une radio africaine exposent la rétine allogène à des appels implicites et désormais explicites à tuer des Blancs. « Privilège blanc », « suprématie blanche », « racisme », etc.. sont autant de slogans qui servent à conditionner les masses allogènes en vue du génocide.
Les 7 étapes du génocide
1. La définition de la future victime,
2. son recensement,
3. la désignation, 4. les restrictions et les spoliations (vous êtes ici)
5. l’exclusion,
6. la séparation systématique,
7. et la destruction massive.
Mais cela n’est que le front racial qu’organise les révolutionnaires djouzes en vue de la prise de contrôle total des pays blancs. Quand la révolution djouze éclatera, s’en suivra la véritable guerre civile qui découlera de l’implosion de l’Etat. Vous savez ce qui est arrivé aux Koulaks après la révolution judéo-bolchevique en Russie. Vous savez ce qui est arrivé aux Vendéens lors de la Terreur. Vous savez donc ce qui menace de vous arriver si vous n’êtes pas préparé.
A ce moment-là, les Blancs se diviseront en deux blocs. Des parents trahiront leurs enfants, des soeurs trahiront leurs frères, les amis de la veille seront les ennemis du lendemain. Les pires scénarios personnels se produiront.
C’est pourquoi il ne faut jamais perdre de vue que le traître doit toujours être combattu avant l’ennemi et c’est justement l’objet d’une guerre civile : une lutte entre un peuple et ses traîtres.
Le colossal mensonge-manoeuvre du corona m’a incité à reprendre le clavier. J’ai eu tort, personne ou presque ne regarde. Tout de suite (fin janvier) je vous ai dit que ça sentait mauvais. Un peu primaire sans doute, je vous ai dit que le but était de nous vacciner-tuer. En fait, le but est de nous vacciner-identifier-contrôler-asservir. Et tuer, peut-être. Les juifs ont gagné, les ordures genre Gates vont nous passer les bracelets.
Vaccin (ils ne marchent pas, on est obligé de revacciner tous les ans contre la grippe et ça ne sert à rien, sauf à faire du pognon et à rendre malades les enfants), puce ou nano-implant, on ne pourra plus se déplacer, avoir des rapports humains normaux sans avoir la preuve du vaccin, et monnaie numérique, nous serons définitivement détruits.
Je le dis maladroitement. Personne (ou presque) ne s’y intéresse. Cinquante-soixante coups d’œil par jour, peut-être 30 visiteurs. Echo absolument nul. Ça ne sert à rien, je ne sers à rien. Et je me noie sous les articles intéressants que je voudrais vous raconter, je ne sais pas m’organiser. Ce n’est ni grave ni même intéressant.
Salut à tous, et particulièrement à Paul Emic et Equalizer. Et à l’ami LHDDT s’il lit encore. Merci à ceux qui se sont un peu intéressés à ce que je racontais. Il y n’y a que des gens très bien, vraiment très bien, dans ma liste de blogs. Mais personne, jamais, n’a regardé mes blogs en anglais. C’est désespérant, en tout cas ça me désespère.
Je vais regarder le monde tomber. Seul, puisque je n’ai pas réussi à susciter l’intérêt ou la discussion et donc à partager. Tanpire. Je suis trop vieux, en tout cas trop fatigué.
Regardez quand même cette vidéo de Valérie Bugault. C’est essentiel. Elle dit tout. En évoquant discrètement le caractère « messianique » de certains organismes qui nous détruisent. Messianique. Ta mère, sans doute. Putain de tribu d’ordures maléfiques !
Il y a juste un an, Notre-Dame brûlait. Le petit étron, l’air satisfait et compétent, affirmait bien entendu, alors qu’il y avait encore des flammes de 15 mètres de haut et qu’une équipe de pompiers tentait d’éviter l’embrasement de la tour nord, que c’était accidentel.
Bien sûr. Un mégot, sans doute, et des centaines de tonnes de bois multiséculaire, en poutres énormes, brûlaient comme de la paille.
Depuis, apparemment, l’enquête n’avance pas. C’est un accident. On renforcera les règles.
Pour le coup de grâce à la civilisation chrétienne et, ici tout particulièrement, catholique, un confinement général a été décidé par les ordures d’en haut pour éviter un virus banal. Les messes sont interdites. Et, ça tombe bien, la messe de Pâques. Pour les catholiques, c’est la seule messe incontournable, celle qui affirme leur foi en leur Dieu ressuscité. Interdit.
Et en même temps (c’est le sceau de l’époque) un peu partout en France, les muz ne respectent pas le confinement et appellent à la prière. Avant de plonger, dans une semaine, dans leur stupide Rammerdant, orgies nocturnes et repos diurne, en hommage à leur allah.
Voilà. Cathos interdits, muz triomphants et affirmant par tout leur comportement qu’ils n’ont rien à foutre de la France et de son immense histoire. Qu’ils ne sont pas français.
Les (((patrons))) du petit étron sont sûrement bien contents.
La France meurt. Et personne ne réagit, personne ne jette des cailloux au petit imbécile et à sa clique de demeurés, avant de les envoyer compter les phoques aux Kerguélen.