On a supprimé le mot « sucre » du dictionnaire.
Pauvres cons, misérables saloperies. D’une bêtise à hurler, ou à se rouler par terre de rire. Ils ne veulent pas accepter que les races existent, comme n’importe quelle personne douée de perception le sait. Alors, ils suppriment le mot.
Ils croivent, veulent croire, veulent faire croire, va savoir, que ça fera disparaître le racisme. C’est évidemment impossible. Et surtout, c’est contre-productif. La Gonstiducion garantissait dans le principe les mêmes droits et le même traitement aux différentes races. Ils suppriment le mot, mais la réalité persiste, comme faire disparaître le mot « sucre » ne fera pas disparaître le diabète. Alors, que le vent change et que des racistes ou racialistes purs et durs viennent au pouvoir, ils n’auront aucune difficulté à discriminer selon les races : ce n’est plus interdit.
Les abjectes larves qui nous gouvernent, micron en tête, vivent hors du réel. Ils vont jusqu’à ignorer l’effroyable racisme des nwars contre les Blancs. Avec un peu de chance, tous ces cons seront les premières victimes de la guerre raciale qui mijote…
Bien entendu, c’est pareil pour les races beiges, à qui des traîtres innombrables ont ouvert l’accès à nos nations. Dans l’immédiat, quelques images de ce qui nous attend, à prédominance sexuée-sexuelle, parce que c’est notre châtiment : les animaux prendront nos femmes.
« L’avenir est noir. Vous ne pouvez rien contre. Alors réjouissez-vous. L’avenir est si noir. »
Sous l’effroyable pression kalergiste, les femmes blanches cèdent, soit à la menace d’être vues comme racistes, soit à la curiosité de l’énorme. Quitte à être évidemment très déçues (mais trop tard, un polichinelle dans le tiroir et des baffes dans la gueule) parce qu’on n’en trouve pas souvent des comme ça :

– A quoi tu penses ? – A faire disparaître les toubabs.

A l’indépendance de Haïti, les nègres ont massacré jusqu’au dernier tous les Blancs et métis. Haïti est donc devenue un paradis, et ça dure encore.
Voilà. Pour maintenir la pression chez les nègres et la culpabilité chez les Blancs, la 23 diffuse à partir d’aujourd’hui la lamentable série « Racines », remake de l’ancien « Roots », qui raconte les mésaventures du bon Kounta Kinté aux prises avec l’immonde cruauté des Blancs. Et cela à travers les générations.
La race blanche est en danger immédiat. Mortel, le danger.
PS : j’oubliais le détail qui tue, d’une pierre deux coups. Le héros nègre est muz, en plus, au 18ème siècle, avant le terrorisme djihadeux. Et dans sa révolte, à la fin du 2ème épisode, il hurle « à la ouaque barre ». D’un coup, l’esclavage et l’islamophobie. Ils ont pas encore réussi à caser la chowa et la judéité, bien que la grande majorité des trafiquants triangulaires et des possesseurs d’esclaves aux US aient été du peuple élu… Mais comme ils sont élus, on ne peut pas, on ne doit pas, voir qu’ils sont méchants. On n’en parle pas, c’est plus simple.
rePS : Pour faire bonne mesure, avec la panthéonisation demain de la mère Veil, on a droit lundi sur la 5 à un film sur Barbie-Touvier. La chowa, toujours, toujours, toujours.