29 commentaires sur “Hospitalisation de Mme Fronce : pronostic vital en jeu

  1. Non, ricoxy, l’euthanasie n’est pas la solution.
    Au risque de fâcher le Dr Pakounta (au chevet de la malade), un peu de Chistianothérapie pourrait, non se contenter de la soulager par hypnose, mais lui donner le goût à la vie. Mais, le diagnostic de docteur ci-dessus cité (et tant d’autres) est allergique aux solutions de retour à la médecine traditionnelle qu’il considère comme charlatanisme. A sa décharge, il faut admettre que les grands docteurs (de la foi) donnent en effet le sentiment de ne pas comprendre le mal et sa profondeur. Et pourtant, le grand Charles (Martellus) avait appliqué une recette ancienne qui s’était avérée efficace.
    La prise de conscience de ce « grand corps malade » exige l’action conjuguée de toute la classe des médicins. Et voilà le point délicat : par exemple les grandes sommités (Drs Pakounta et Mélanchon) ont sur bien des sujets des analyses convergentes et pensent tous deux que le mal actuel est de même nature qu’un mal ancien qui aurait rongé la patiente pendant quinze siècles alors même que d’autre médecins (dont je suis) pensent que ce traitement de quinze siècles a forgé chez le patient une résistance alors même qu’un siècle d’athéothérapie a ruiné toute défense immunitaire de la patiente.

    Amicalement, mon Pakounta.

    • René
      Je n’ai RIEN à voir avec Méchancon, que je méprise et qui est un type dangereux. Je ne vois pas en quoi le moindre de mes propos peut « converger » avec le moindre des siens…
      Par ailleurs, vous vous obstinez dans un faux diagnostic. Tant pis. Le drame qui nous détruit n’a rien à voir avec l’athéisme.
      Ce soir, je n’ai pas envie d’en parler. Je suis fatigué de voir mon monde mourir.

    • ► René,

      Plutôt que de parler de christianothérapie, j’opterais pour le rétablissement de la conscience européenne (la vraie) et des valeurs sacrées en général. C’est peut-être en partie à cause de la perte du sacré que les Européens sont tombés si bas.

      En attendant, j’ai une petite maison dans un pays slave et, bien que le climat soit (très) chaud l’été, on n’y voit pour ainsi dire presque pas de mélanodermes. C’est pour moi une issue de secours. La charlesmarteloxine n’apportera aucune aide, le mal est trop profond.

      • Ça n’a (presque) pas de rapport avec le sujet de l’article, mais voici ce que je viens de lire, ce qui prouverait (– si l’info est exacte –) que l’Islamisme véhicule des valeurs de destruction et de mort :

        «
        Selon Raymond Ibrahim, de Front Page, plusieurs rapports de la presse arabe affirment que d’importants clercs musulmans commencent à réclamer la démolition des grandes pyramides d’Egypte, considérées par le sheik saoudien Ali bin Said al-Rabi comme des symboles du paganisme. Récemment, le sheik des sheiks sunnite de Bahrein et président de l’Unité nationale, Abd-al-Latif al-Mahmoud, a appelé le nouveau président égyptien Mahmoud Morsi à détruire une des Merveilles du monde.
        »

        Réf : http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/les-islamistes-victorieux-ou-120085

    • Je suis assez d’accord avec votre façon de voir. Dites, ça ne vous tenterait pas, un strapontin sur Secession intérieure ? Un point de vue comme le vôtre, ce serait rafraîchissant dans la sphère.

  2. Moi je me réjouis de l’injection de jeuzol, parce qu’en Suisse on est naturellement immunisés, un peu comme les belges, alors on rigole bien…

    • Merci Dixie, j’avoue que j’attendais votre réaction : vous faites partie de ceux, peu nombreux, qui entrent sans difficulté dans le jargon médical. J’avais envisagé de faire un dossier formellement classique, avec histoire de la maladie, antécédents médico-chirurgicaux, examen clinique, examens complémentaires, mais j’ai pensé que ça ne parlerait qu’aux médecins. J’ai sans doute eu tort : votre billet, que je n’avais pas vu (je vous ai découverte début 2011 et je crois bien que j’ai eu la flemme de parcourir vos archives), est bien plus drôle et plus fin.
      Continuez, vous avez l’oeil aiguisé et une indulgence profonde qui rend vos textes plus digestes (et beaucoup de talent). Moi, je suis convulsé de rage, et ça se voit !

      • Vous êtes bien indulgent à mon égard : j’ai au contraire l’impression qu’avec la même idée que vous au départ, je me suis contentée, comme souvent, de faire un petit billet vite fait en passant( Je suis un brin cossarde, en plus). Mais j’ai trouvé amusant que nous ayons eu une idée aussi proche.
        Je crois aussi que nous partageons la même colère, même si elle est sans doute moins apparente sur mon blog que la votre : IRL j’ai tendance à hurler en lisant FDS et à jurer comme un charretier en lisant quotidiennement les nouvelles traitrises des islamocollabos. 😉

  3. ah,ah,ah ! Ce petit ragout mijoté au petit oignons a un fumet qui ravigotera tous les mal-pensants anti-pensée unique allergique au diagnostic de la gochiasserie merdiatique !

    C’est délicieux à lire et je recommande le remède de cheval avec bazooka , bombes aérosol intelligentes , ovnis anti-gravité et rires démentiels pour sortir la raleuse agonisante sur les pelouses interdites de la goche caviar ,avec tintouins , brulots brulants et autres feux d’artifices de derrière les fagots !

    Bref , n’oublions pas les proverbiaux grains de sable qui dérangent les ronrons routiniers de l’imposture des tous pourris qui exècrent l’anticonformisme médicamenteux pour comateux zombifiés par la télé sans cerveaux disponibles …..

    Pakounta est une excellente antidote à la sinistrose avachissante !

  4. Comme disait un pote oncologue qui avait beaucoup d’humour :

    « Si on t’enlève la tumeur, tu vis. Si on t’enlève la vie, tu meurs. »

    Et merci, cher Pakounta, de m’avoir fait découvrir le terme « aréflexique » que je ne connaissais point mais dont je pourrai affubler quelques politichiens de mon pays !

  5. « La patiente est une dame âgée, en très mauvais état général, aréflexique et presque aveugle et sourde. »
    Et à part trois-quatre endroits comme chez vous, cher Pakounta, on l’a rendu muette. (Sans doute causée par une glossite d’origine digestive, à force d’avaler des couleuvres.)

  6. Avant qu’il ne soit trop tard, il serait temps d’envisager la création d’une exposition permettant aux visiteurs de retracer les moments forts de la vie de la patiente: portraits du temps où elle était jeune et belle, où elle était forte et jalousée, maquettes de ses réalisations, textes de ses admirateurs à travers les âges etc.
    Cette exposition pourrait être installée dans la grande galerie de l’évolution du Museum.

  7. Bonjour Pakounta
    J’avais remarqué, depuis longtemps, vos interventions sur des « blogpotes » communs, et puis, je me suis enfin décidé à vous lire (lien de votre blog par le truchement du blog de Dixie).
    D’accord avec votre analyse, j’insisterais sur un point essentiel, celui de notre responsabilité à nous « Français de souche ». Je lis, ici et là, « c’est la faute des juifs, des francs-maçons, … » sans minimiser l’attitude de certains, le principal responsable, c’est « nous ».
    Arletty à qui on demandait pourquoi elle s’était si bien « entendue » avec quelques Allemands, elle répondait « il ne fallait pas les laisser entrer ». C’est cynique mais c’est exact et on peut transcrire avec les immigrants actuels. En tout cas, je partage entièrement votre pessimisme et souscris, sans réserve, à la maxime d’un « blog » ami : »On est foutus ».
    Bien amicalement. Gilles

    • « Notre responsabilité à nous »…
      Je ne crois pas qu’elle soit si importante que ça. Dans les années 60 et 70, il y avait une forte opposition de fond à l’immigration. Et très vite s’est installé le double mécanisme pour nous forcer à accepter : 1/ Ils sont peu nombreux et à la fois utiles et malheureux ; 2/ il est interdit de les discriminer. Je me rappelle ma stupéfaction lors d’une affaire de refus de servir un arabe, quand le bistro avait été condamné, et quand on avait insisté sur le fait que c’était un délit (maintenant c’est pratiquement un crime).

      Les gens – nous – n’ont pas pris conscience de la menace, n’ont pas mesuré l’invasion. Il m’a fallu très longtemps (vers le milieu des années 80) pour comprendre que lorsqu’on parlait de « jeunes » il s’agissait systématiquement d’Arabes, puis à partir des années 90, de Noirs. Pour la très grande majorité des habitants des petites villes de province, des campagnes, ou des centres-ville dans les grandes agglomérations, l’invasion était peu visible, peu perceptible. Dans les banlieues, ceux qui le pouvaient déménageaient. Des commerces étaient fermés, abandonnés, somme de petites catastrophes individuelles, de fuites locales, sans prise de conscience générale… Tout s’installait dans les « cités ». Le point de départ du bordel a été donné avec la marche des beurs… mais là encore, le traitement par la presse et le caractère extérieur à la majorité de la population ont empêché la perception du danger.

      Pour moi, la certitude de la menace mortelle date seulement du début des années 90. Et à cette époque je ne mesurais pas DU TOUT le travail de sape monstrueux mis en place par l’Educ naze.
      Nos dirigeants et nozélites ont TOUT fait pour mentir, cacher, dissimuler, déformer. Nos dirigeants et nozélites sont bons à pendre. Et ça continue : je lisais encore hier (je sais pas où) que les musulmans sont 5 millions en France, alors qu’ils sont au bas mot 15 millions, comme n’importe qui, n’importe où, peut s’en rendre compte sur la tronche des gens qu’il croise n’importe où : une personne sur 4 ou 5 est arabe ou noire, et autour de 2 enfants sur 5. C’est un véritable désastre humain, un crime commis en toute connaissance de cause contre une population qui ne demandait rien à personne et qu’on a sciemment culpabilisée chaque fois qu’elle ébauchait un mouvement de recul ou de réaction.

      Nous n’avons pas vu, et quand nous voyions, on nous disait que c’était une erreur… Je m’en souviens très bien. A Paris, dans le quartier très agréable où je vivais, on voyait peu de ces gens. Trop, déjà. Mais quand a ouvert une boîte de nuit pour noirs (fin des années 90), et quand un gros tas d’immeubles sociaux (arabo-nègres, donc) été construit en plein coeur, en bordure du Champ de mars (même époque), ça a commencé à merder. En 2004, je crois, a eu lieu le premier meurtre nocturne en pleine rue. C’est à cette époque que je me suis barré.

      Beaucoup de gens n’ont pas pu voir, ni comprendre, ni se barrer. Quand j’étais petit, en France, on ne parlait JAMAIS de race. Aujourd’hui, on ne parle que de ça. Des fous furieux mal intentionnés ont détruit le pays de l’intérieur. Il n’y aura jamais assez de chanvre pour les cordes qui s’imposent.

      • 15 millions de musulmans en France (au bas mot).

        C’est grosso-modo le chiffre auquel je suis également parvenu. Et, si je me réjouis de ne pas être le seul à avancer cette statistique, je dois constater qu’au delà de dix millions, on passe généralement pour un ahurri, un catastrophiste, y compris au sein de la « réacosphère »… ce qui permet de mesurer le véritable travail de désinformation et de propagande qui a été fait autour des statistiques démographiques depuis plus de trente ans.

      • Mais B* de M* Pakounta, ce n’est pas une réponse ça, c’est un billet. Et de l’excellent qui plus est !
        Mettez nous ça à la une ! là, ça va être plus ou moins perdu au fond des coms.
        Vous avez ouvert un blog pour éviter ça, justement, non ?

  8. Un petit salut en passant, cher Pakounta, un salut par les plantes puisqu’on parle de chanvre. Une petite lueur d’espoir pour un pays qui n’a pas de carte Vital(e) : j’ai cru déceler dans de lointaines et profondes provinces de timides (et nouveaux) signes de sympathie envers la 12.7. Mais peut-être n’était-ce là que l’équivalent du bleu de méthylène (?) de notre enfance.
    De toute manière, je reviendrai en zombie pour me venger.

Laisser un commentaire